Mais il est encore trop tôt pour installer le mobilier sur la pelouse, l'herbe est toute tendre et le sol trop meuble, même sans taupes (sic) les pieds s'enfonceraient... Tant pis, en attendant, il est toujours possible de s'asseoir aux belles heures profiter du soleil !

A celles et ceux qui poussent la porte de ce blog, j'offre quelques couleurs de notre jardin : vous avez le choix, viburnum, azalées, rhodo, et même première fleur d'hortensia. Les rosiers nous promettent eux aussi de belles fleurs à en juger par leurs boutons, jugez plutôt, quant aux pivoines, elles restent les reines incontestées du jardin, éphémères, mais tellement, tellement délicates, et si tendrement parfumées...

Beau 1er mai fête du travail. Ménage et linge, bois, scie et vis, brouette et cailloux : pas de repos. Mais le retour du soleil nous donne à aprécier la pousse de la pelouse devant les chambres d'hôtes. Par contre en raison des pluies récentes, elle n'est vraiment pas praticable, le sol est meuble.

Sinon l'allée qui mène des chambres vers la salle à manger est achevée à quelques détails près. Il faut maintenant tuteurer les rosiers grimpants sur le mur et la treille à gauche de l'allée pour ainsi bien délimiter l'espace privé du verger. On a même repéré  un endroit où installer un banc... pour se poser.

Du coup, quand même, le service sera plus pratique tout étant rassemblé dans le même meuble, que dire quand la pièce sera aménagée pour le petit-déjeuner ! Mais le travail est commencé, voyez vous-mêmes :

Voilà, on peut imaginer le matin, les yeux sur le jardin ensoleillé avec les oiseaux et une bonne odeur de café...

Pas comme aujourd'hui avec le régime des giboulées :  vent,  soleil, et à nouveau pluie... Patience (...) 

Vous vous souvenez ? Nous devions le couper en têtard au moment du grand froid ? Et puis, comme souvent, l'ordre des choses a changé, (sans doute que ça ne devait pas se faire), et notre chêne est toujours là, magnifique, tout feuillu maintenant, si l'été est chaud, ce que tout le monde souhaite, nous profiterons de son ombrage, et l'hiver prochain, nous ferons d'autres projets :) 

Ce sont les giboulées de mars, mais en avril.  La pelouse va pouvoir lever maintenant car le soleil nous procure une température bien agréable entre les averses. Il est trop tôt pour prendre une photo au ras du sol, rien ne pousse encore, par contre les lilas sont tout en fleurs et je vous en fais profiter. Fermez les yeux, sentez leur parfum, hummm, oui, oui, c'est bien le printemps.. .

Par contre, tant que les gouttières ne sont pas posées, mieux vaut choisir entre les averses pour entrer et sortir des chambres d'hôtes. Mais on va y remédier très vite.

Brouetter, pelleter, ratisser, rouler, reratisser, semer, rerouler, voilà le travail du weekend dernier, intense, seul, et sous le soleil. Ca y est, la pelouse est semée devant et autour du bâtiment des chambres d'hôtes, il nous reste à attendre la pluie.

Que dites vous ? Danser ? Chanter ?

Mais non, la pluie viendra bien faire lever ces petites graines et bientôt une photo prise au ras du sol viendra matérialiser la pousse des jeunes herbes. Ce qu'il ne faut pas par contre, c'est du gel sinon, les jolies fleurs du prunier en avant plan, aïe aïe, aïe !

Samedi en fin d'après-midi, le zozieau et son acolyte ont chargé l'encombrant objet qui est parti, bien calé devant et derrière, et bien (?) sanglé à droite et à gauche. Nous ne savons pas comment s'est effectué le voyage et le déchargement et si les orteils ont été épargnés, on espère, le zozieau a déjà assez de misères. Ca nous a fait nous souvenir de la fameuse livraison de la serre, il y a pas mal d'années, et ses circonstances... inoubliables. 

Sur ce blog, je veux dire. Le reste, non, pas peur ! Mais ici, quand on ouvrait le blog, les articles arrivaient dans un désordre non calculé. J'y ai remis de la chronologie grâce à l'aide de Stéphanie. Merci à elle. Entretemps, avec une mauvaise manip, j'ai effacé les deux derniers posts. Je vais tâcher de les reprendre. A + donc

Vous allez vous y retrouver : le bâtiment occupe ce qui était notre potager, et il ouvre ses portes-fenêtres pile au sud-ouest. C'est dire s'il profite du soleil au maximum et les panneaux sur le toit, s'ils ne sont pas très esthétiques (:-) nous fournissent sans peine l'eau chaude solaire. Nous sommes attachés à la nature et à son respect aussi, il nous a semblé évident d'opter pour cette énergie  renouvelable dont nous sommes bien lotis avec plus de 2200 heures de soleil par an.

Côté ouest, le soleil de ce 19 mars allonge les ombres des acacias sur la façade de notre maison alors que les chambres d'hôtes, au fond à gauche sont toujours bien ensoleillées. Il fera bon flâner le soir bientôt... 

Les  cheminements dessinés, les rosiers grimpants plantés le long du pignon du garage , les allées damées, les premiers pavés posés, quelques modifs visibles quand même. Dommage que ce ne soit pas une semaine de congés, le temps se prête magnifiquement aux travaux mais il faudra attendre samedi... Le bois pour la terrasse et l'allée vers la piscine vient d'être livré, il faut juste quelques vis !!!

voici 2 photos pour montrer les changements survenus aujourd'hui : plus de tas de terre devant le bâtiment, on a arraché la treille, les poteaux à linge, on a replanté 3 pieds de treille le long du verger, fait des trous pour planter 4 rosiers grimpants le long du garage, tracé les allées pour accéder aux chambres ; ça parait avancé, mais en fait, il faudra des jours et des jours de travail pour terminer.

il faut qu'on mette un tuyau pour l'écoulement de la gouttière sur le pignon gauche, pourquoi ne l'avait-on pas fait?), on place des bordures pour séparer de la pelouse les cailloux recouvrant le drain aux 2 pignons car la terre doit être maintenue à distance du bois.

On doit passer le motoculteur partout pour préparer la terre, ratisser, semer, rouler, planter tout partout, poser un film géotextile sur les allées bien tassées avant d'installer les clayettes bois ou les cailloux, ou les pavés, faire des coffres autour des plants de rosier, enfoncer les poteaux et tendre les fils pour la treille, poser une barrière pour délimiter le verger sur les autres angles, planter une haie entre chez Paul et la terrasse bois, faire deux portails bois pour l'accès (et la fermeture) de la terrasse piscine, poser les pas japonnais... Bon, c'est pas tout, mais j'arrête la liste, vous m'avez déjà lachée ! C'est pas grave, on a avancé, non ?  C'était une super journée, sans pluie, et avec du soleil en prime. A +

Tout vient à temps à qui sait attendre, dit la formule bien connue. Le problème c'est que je n'aime pas attendre, (vous non plus ?) du moins c'est à contre-coeur. Pour exemple, une vis "énorme" qui dépassait de quelques milimètres de la menuiserie car elle n'avait pas voulu entrer à fond (elle faitsait 120 mm de long quand même) et que je pressais l'homme à tout faire de la maison de scier, de raboter, bref de faire disparaître cette émergence. Mais comme ça tardait encore et encore, j'avais quand même peint les boiseries et puis voici que ce samedi soir-là, décidé enfin, voici mon ouvrier qui s'y met ; AÏe, ça va tout abimer ? He bien ma foi non, ça donne quelques gerbes d'étincelles, tellement belles que je n'ai pas résisté à l'envie de faire une photo. Joli, non ?

Et puis finalement, un ou deux coups de pinceau + tard, il n'y parait rien. Merci Mr Faitout ! Ah la patience, quel art.

Maintenant on peut le dire puisque ça ressemble à ça, (à des chambres d'hôtes je veux dire), d'où l'idée que finalement, on y travaille, mais on est en chambres d'hôtes, non ? Bon, c'est pas  repos, service et tout et tout, c'est même plutôt repas rapides et pauses  minimum, mais on ne se plaint pas. Et puis avec les routes enneigées et le froid, ce n'est pas vraiment la bonne période pour voyager. Notre petit weekend tranquille, on y pense, mais pour + tard et cette fin de semaine ne dérogera pas à nos habitudes. Et en  attendant, on avance.

Sinon, ce matin, vous y pensez ? Nous sommes le 9 février ! Il y a 19 ans, c'était un grand jour pour la famille (...)

Le chêne ce matin 9 février 2012. (Photo couleur, si, si, prise à 8 h 30 du matin, par - 9° environ.

Donc, si vous m'avez bien compris, ce weekend, c'est pas chambres d'hôtes, mais grand bol d'air. Aussi je m'en vais faire la revue des bonnets, gants et autres accessoires pour parer le froid. Ah, ne pas oublier de quoi faire du vin chaud ! A + 

...Ou comment s'y prendre pour convaincre la jeune fille de la maison de monter tout en haut de l'échelle et d'attacher le traditionnel bouquet marquant la fin de la charpente.

Dites, c'est  pas joli tout cet enchevêtrement de bois ? Et encore, il reste bien des morceaux à fixer de partout et dans tous les sens pour bien tenir le tout. Des heures encore à faire monter le bois et clouer...

Ce matin, les 6 petites mésanges sont sorties du nid que nous surveillions dans le muret de la terrasse depuis quelque temps. Instant fugage ; l'un après l'autre, les oisillons sont sortis vivement puis se sont envolés vers l'arbre tout proche d'où les appelaient un parent. De là, très vite, ils se sont réenvolés plus loin guidés par l'autre parent avec force pépiements... Bien, maintenant, quoi d'autre pour retarder au crépi du mur ?  Côté chantier, montage de la pointe du 1er pignon, et les fermettes vont suivre. Merci pour le coup de main !!!

La charpente vient de nous être livrée, nous nous installons sur l'herbe, à l'ombre, pour y préparer et couper le bois nécessaire à confectionner les 2 pointes du bâtiment, selon le gabarit des fermettes.

Comme nous attendons la livraison de la charpente du bâtiment bois, nous pouvons nous attaquer à la réalisation de la terrasse bois de notre maison. Sous la chaleur, tout est bon pour nous protéger du soleil, chapeaux, banne, parasol même, et dire que les chaises longues nous tendent les bras, mais tant pis, ce sera pour une autre fois...

Le blanc des murs qui réverbère la lumière, conjugué au bleu du ciel, ça nous rappelle la Grêce... Magnifique 12 mai !

Pose du drain tout autour du bâtiment afin de faire s'écouler toute l'humidité résiduelle possible, même si nous envisageons des gouttières pour recueillir les eaux de pluie du toit.