Grand soleil radieux pour prendre des photos des derniers travaux. Les façades avant et arrière sont matérialisées maintenant par les panneaux OSB qui encadrent les portes-fenêtres à l'avant et les fenêtres à l'arrière. Enfin, les murs du local technique qui viendra s'inscrire au fond de la chambre de gauche. Entre chacune des 3 chambres, un mur bois qui assurera l'isolation nécessaire. 

Les murs sont élevés l'un après l'autre et arrimés en attendant la façade et les panneaux qui vont consolider le tout.

Premiers assemblages pour les murs ; seuls outils nécessaires, une scie, des marteaux et des pointes, des kilos de pointes ! Le chien nous assiste impassiblement, allongé au soleil, le plus près possible de nous, comme toujours. Les préparatifs de pose sont terminés : les lisses classe IV sont fixées à la dalle et isolées par un film plastique noir armé et agraffé sur les côtés. Le premier mur de pignon est prêt à être élevé, nous allons nous aider des tréteaux pour le poser à mi hauteur afin d'ajuster le bas sur la lisse... Et puis des tire-fond pour fixer le tout ensemble...

Et le 8 avril au matin, nous coulons la plateforme : 2 camions pour 11 tonnes de béton au total. Le second camion repart à 11 h 45. Dur, dur, le tapis n'allant pas au-delà des 2/3 de la longueur de la plateforme, on tire et on étend sous un soleil radieux et... chaud pour nous. Il faut faire vite, tout à l'heure, nous partons en weekend avec des amis pour une magnifique fête d'anniversaire sous d'autres cieux.

Une fois étendu tout le gravier (des centaines de brouettées !) un bon coup de dameuse louée pour l'occasion, pose de l'isolation puis du grillage légèrement surélevé, avec les moyens du bord. Bref, tout est maintenant prêt pour faire couler la plateforme.

Préparatifs avant de couler la plateforme : 23 tonnes et + de gravier à transporter à la brouette et étendre, et toutes les gaines électriques et tous les tuyaux à placer et fixer afin que rien ne bouge. Ne rien oublier, surtout, et tout placer à l'endroit exact !

Quelques heures de dur labeur pour poser les parpaings des fondations (lourds à transporter et à manier).

Le 25 mars, une fois les ferrailles mises et les niveaux ajustés, on fait couler les fouilles ainsi que 2 plots sur le centre du bâtiment afin de solidifier bien le tout.

Il y a un avant et un après. Juste un coup d'oeil sur la configuration du terrain avant l'arrivée de la pelleteuse, et aussitôt les mesures prises, creusement des tranchées pour les fondations, les arrivées et les écoulements.Et raccordement pour l'arrivée d'eau.

Neuf mois et quelques jours après le début de notre chantier de chambres d'hôtes, j'ai voulu ajouter ici une photo de notre première journée de travail. C'était le 25 mars 2011. La pelleteuse avait creusé les fondations et nous venions de poser le grillage pour couler le béton. Depuis nous avons passé beaucoup de journées, de weekends sur le "chantier". Maintenant, nous parlons de la chambre "Dune", de la chambre "Marais" et de la chambre "Village" puisque que c'est ainsi que nous avons décidé de les nommer. De projet, d'abord dans nos têtes puis sur papier, nous sommes passés à la réalisation très concrète et nous en arrivons (bientôt) aux travaux de la fin. Il reste encore beaucoup à faire, notamment en extérieurs, mais les peintures d'ici peu achevées, ça commence à avoir de l'allure. Encore un peu de patience, de temps, et on va y arriver. A bientôt pour des photos d'intérieur... Pour donner envie d'y dormir et y loger !!!

Un petit essai d'installation pour la chambre la plus avancée en travaux : DUNE, accessible PMR (personnes à mobilité réduite)

Le mur en lambris brut est achevé, les 3 autres peints, (2 en blanc et le mur de façade en beige foncé)  la tringle et les rideaux montés, la salle de bain quasiment achevée, restent le miroir à fixer, l'armoire à monter et installer et finir l'agencement. Un coup d'oeil  sur les couleurs ? 

Tâches pénibles mais nécessaires, la pulsion de l'isolation sur les plafonds. C'était l'an dernier, oui, mais peu avant Noël,et qui c'est qui n'a pas voulu céder sa place pour se faufiler entre les fermettes, à genoux sur les  planches étroites pour atteindre les endroits les moins hauts et bien pulser l'isolation partout ? Vous le reconnaissez dans l'enchevêtrement des fils ? Nous lui devons là encore une fière chandelle. Chaud, devant, chaud. Sorti des combles, ouf, ça va gratter un peu beaucoup, pas étonnant. En bas, à l'air libre, l'aspiration, poste de travail bien plus confortable, par contre, le costume, pas très seyant on en convient ! Et l'ancêtre, me direz vous ? Il a passé son temps en haut de l'échelle, la tête dans la trappe de plafond à suivre les opérations et faire le téléphone arabe... Si, si ! Bon, bien entendu, de temps en temps, il descendait, car il ouvrait les sacs et les aérait pour qu'ils passent bien dans la machine. Quand même !

Un petit aperçu des dernières faïences posées dans la salle de bain "village". Restent 3 carreaux à découper, au niveau du mitijeur et des prises électriques de chaque côté du plan de toilette, mais c'est le "chef" qui s'en chargera, trop délicat pour moi... (D'ailleurs, sa meuleuse m'effraie chaque fois que je la mets en route, trop de bruit, trop radical, ça craint pour des découpes précises...) Bon, il faudra aussi faire les joints et ensuite, ça devrait avoir de l'allure. La chambre Village est meublée avec un lit 160 métal laqué noir et une banquette-lit assortie. L'armoire sera en laqué blanc, ainsi que les chevets et la table. Et le linge de lit, gris et blanc avec des notes de rose pour relever le tout. Et des gravures en noir et blanc sur fond rose vif  aux murs... A découvrir bientôt. Trois murs en gris pâle avec une pointe de rose mêlée et un mur mauve foncé en tête de lit. Une tringle et des rideaux noirs ! Et des rideaux blancs en tête de lit pour le rendre plus intime. A voir, j'ai hâte. Le linge de salle de bain ? Noir et blanc bien entendu, mais aussi du rose !

Vite fait, bien fait, sitôt l'annonce passée un acheteur se fait connaitre, et hop, sitôt sorti du garage, le ciao s'en est allé... pour la région de Saumur. Une petite place de gagnée dans le garage ! Il faut préciser que pour y avoir accès, il m'a fallu déranger la tondeuse, le... je ne fais pas la liste, mais pas mal de trucs, contenants, contenus et autres outils dont une partie s'est égarée maloncontreusement sur le sol et qu'il me faudra ce soir ranger car là, je vais repartir tout de suite et puis ça peut attendre, non ?...  Bye, bye, années 90, frisettes au vent sur le Ciao, pas trop de regrets ? Nostalgie s'abstenir, il va rouler de nouveau et sous d'autres cieux. Pour le cas où, je te garde une photo. Bises

Ce weekend, c'était au retour de la marche que « Mamirie » s'est découvert 2 ampoules (100 watts je crois ?) En fin de matinée, Mamounie s'est découvert elle aussi de quoi la dispenser pour ce lundi de vaisselle. Pas besoin de certificat médical, c'est pas la pointure de ses pieds qui l'empêche d'approcher de l'évier, nan, (voir Marie Guerzaille), mais tout prétexte est bon à prendre.

Pour le coup c'est le vigoureux maniement de la spatule à joints qui a été cause de l'infortune de la pôôôôvre Mamounie... Aussi, elle n'a pas manié elle-même l'éponge pour rincer les carrelages, c'est Mr Faitout qui s'en est chargé. (merci :) Demain sera un autre jour, de vaisselle et autres lavages, mais le bobo aura un jour de +, et si vraiment bobo il y a encore, y'aura toujours moyen de mettre un gant !

Toi qui en as fait pousser un petit pied dans ton jardin, voici comment ont fleuri ceux qui sont restés en place. Sans soin aucun, ils ont gagné de la place, forts et parfumés, j'aurais pensé qu'ils n'allaient pas résister puisque jusqu'à cette année, ils poussaient à l'abri de la serre. Voilà comment ils sont devenus, plus forts et vigoureux malgré les mauvais traitements ! Et sous le soleil, c'est un petit bonheur. Et l'année prochaine, je gage qu'ils vont s'étendre là où j'ai pensé les placer quand nous auront étendu la terre. C'est fort la vie ! Bises à toi...

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  Une maison bien remplie... 

Par mamounie dans Accueil le 27 Septembre 2011

Aujourd'hui, c'est jour des petits. Pas d'école donc on profite de leur présence. Sous le soleil, une vraie journée d'été, avec cueillette des pommes, compote, petite vendange, piscine, déguisements, et jeux divers. Les petis copains sont restés bien sages sous la table tout l'après-midi. Ce soir, le petit cousin va se joindre à nous. Toute la maison sera occupée... Pour une douce nuit...

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  Fin de journée "Ras du sol" !

 Une petite photo pour mémoriser le chantier. Regarder un peu en arrière permet de se dire qu'on a avancé... Toujours à quatre pattes et à genoux pour ce qui est du jour. Mais plus que 6 carreaux entiers et 8 déjà coupés à poser demain matin, et il ne restera plus que les joints à faire, puis les plinthes, la peinture, et... tout le reste... Pour la chambre village, s'entend, sa salle de bain et ses toilettes ! Après on enchainera, et quand on aura fini, on saura faire, ( comme d'hab !)

Heureusement, le fidèle compagnon "inspecteur des travaux" est toujours là et nous soutient dans nos efforts.

• la tornade blanche

ça vous dit quelque chose ? Eh bien, ici actuellement, la tornade blanche, c'est le petit coup de blanc (non pas celui que vous aimez boire, je vous vois venir) mais celui des plafonds et des murs qu'il faut avec courage passer au rouleau. Aïe les cervicales, bien l'échafaudage, (merci Mimile pour le tuyau qualité peinture, ça se pose vraiment bien), mais que c'est fastidieux, et salissant, même si c'est blanc. Merci les enfants du coup de main de samedi dernier, et désolée, Olivier, pour la tête de la Belle Mère, mais ainsi tu es prévenu... Hi hi hi !!! 

Bon, le blanc c'est enfin fini et j'ai hâte d'entamer les pots de couleurs... Mais ça ce sera pour plus tard. En attendant, il y a du taf au ras des sols si vous suivez... Bon courage ? Merci ! 

Peut-être, mais ce qu'on peut vérifier, nous, c'est qu'on marche sur les murs, il n'y a qu'à voir la photo... Du 40 fillette et du 44 jeune homme, si vous distinguez ? Et ce dont on peut juger du même coup, c'est l'avancement du travail. Moi faible femme, j'ai eu une petite pensée pour notre ami dit "Di Caprio" : le placo, c'est tellement lourd, on se demande comment il s'est relevé le lendemain du soir où il est venu aider à mettre la livraison à l'abri ? Ce qu'il y a de sûr c'est que le coup de main fut fameux, merci encore, et à espérer qu'il s'en soit bien relevé ? Pas de nouvelles, on vit comme des sauvages avec le minimum de sorties. Des congés à la dure quoi ! Profitez en bien pour nous, hein et à la revoyure !